L’Écho Syndical – Édition février 2023

Édition FÉVRIER 2023


Avec la période REER qui bat son plein jusqu’au mois de mars, l’occasion d’effectuer des heures supplémentaires peut se présenter  pour certaines personnes, et il est bon de rappeler quelques principes.

Toutes heures supplémentaires doivent généralement être approuvées par votre gestionnaire immédiat. Nous vous encourageons à valider dans votre convention collective, en quels termes celles-ci se définissent.

Il est important de vérifier également le fonctionnement d’octroi de ces heures supplémentaires qui est prévu à votre contrat collectif de travail. Habituellement, le principe d’ancienneté devrait être considéré dans la mesure où les personnes sollicitées sont qualifiées et disponibles pour effectuer le travail demandé. Advenant un manque de ressources disponibles pour effectuer des heures supplémentaires, des mécanismes sont prévus à la convention que l’employeur doit respecter avant de forcer quiconque, par ordre inverse d’ancienneté, à s’y coller!

Bien que la plupart des personnes salariées puissent accumuler ces heures dans une caisse d’heures supplémentaires au même taux que si elles vous étaient rémunérées, plusieurs éprouvent des difficultés à reprendre ce temps cumulé en congé, notamment des périodes achalandées au niveau des opérations, comme la présente période de REER.

Attention, normalement le solde de votre caisse d’heures supplémentaires ne devrait pas dépasser un certain seuil. Surveillez les modalités prévues à cet effet dans votre convention collective.

Si jamais vous des questions concernant la question des heures supplémentaires ou que vous éprouvez une quelconque difficulté à l’égard de ce sujet, n’hésitez pas à communiquer avec vos représentants syndicaux, ils sauront bien vous conseiller et vous accompagner dans cette démarche.

Marc-André Morin, conseiller syndical


14 février – Journée de reconnaissance des délégués sociaux et déléguées sociales

Depuis 1983, en plus de s’impliquer dans notre démocratie syndicale, les délégués-ées sociales sont là pour supporter les collègues qui font face à des situations difficiles dans leurs vies personnelles et professionnelles :

  • Problèmes reliés à l’organisation du travail ;
  • Problèmes personnels (toxicomanie, famille, etc.) ;
  • Problèmes nécessitant un mode d’intervention de crise (menace de suicide, dépression chronique).

Vous pouvez les voir en action dans une vidéo produite par la FTQ : Le réseau des délégués sociaux et des déléguées sociales

Vous avez besoin d’aide ou vous aimeriez avoir plus d’information pour devenir une ou un délégué-e social-e, n’hésitez pas à contacter Sylvie Chevrier (1-800-561-7372 ou sylvie.chevrier@sepb575.qc.ca), responsable du réseau des personnes déléguées sociales pour notre section locale.

MERCI à vous toutes et tous de faire une différence par votre présence et vos actions, dans nos vies et nos milieux de travail !